dimanche 7 juin 2009

Tutti bene

Comme le démontre à merveille le portrait ci-dessus, il n'y a pas d'antagonisme entre la joie et le précariat esthétique. Un dessin rudimentaire s'avère parfois beaucoup plus disert qu'une suite d'organigrammes et de tubes à essais. Si les scientifiques étaient un peu plus à l'écoute de leurs émotions, il y a fort à parier que l'on désemplirait les hôpitaux de moitié.

2 commentaires:

Momo a dit…

Ha, il est fort celui-là !

Guillaume Dénervaud a dit…

Hé bien, il est très malade!